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| Un gardien au centre ville de Casablanca |
Les automobilistes de Casablanca sont amenés à payer des tarifs exagérés de stationnement dans plusieurs quartiers de la ville. Des prix appliqués arbitrairement par des gardiens en contradiction avec la loi.
Depuis toujours les habitants de Casablanca se plaignent des tarifs exagérés des gardiens qui se partagent les rues de la ville. Non seulement ils refusent d'appliquer la loi, mais souvent, ils ont des comportements agressifs vis-à-vis des citoyens.
Ces agissements ont poussé les casablancais à réagir, en créant une page facebook qui a réussi à regrouper plus de 14 milles personnes en moins de 24 heures. Ils ont également signé une pétition demandant la suppression des gardiens autoproclamés.
Une action communautaire qui a créé la polémique et a porté ses fruits. En effet, Le conseil de la ville de Casablanca a décidé de fixer les tarifs de stationnement des voitures et camions et à installer des panneaux affichant les tarifs réglementaires.
Ainsi, les gardiens n’ont plus le droit de demander plus de trois dhs pour les voitures, deux dhs pour les motos et cinq dhs pour les camions, quelque soit la durée du stationnement du véhicule. Ces tarifs doublent la nuit.
En revanche, les gardiens protestent contre cette décision et se justifient par les prix élevés des loyers. Ils continuent à exiger des tarifs fixes et non négociables, allant jusqu’à 10 dhs voire même 20 dhs, malgré les panneaux du Conseil installés sur place. Cette situation est très visible sur la corniche de Aïn Diab.
De leurs côtés, les automobilistes manifestent leur droit à l’application des tarifs réglementaires et le la suppression des autorisations aux gardiens agressifs qui menacent la sécurité des citoyens.
Par ailleurs, en publiant son avis, le conseil de la ville semble vouloir instaurer la transparence, avec l’espoir de mettre fin à l’anarchie et au désordre dans la tarification du stationnement.
Depuis toujours les habitants de Casablanca se plaignent des tarifs exagérés des gardiens qui se partagent les rues de la ville. Non seulement ils refusent d'appliquer la loi, mais souvent, ils ont des comportements agressifs vis-à-vis des citoyens.
Ces agissements ont poussé les casablancais à réagir, en créant une page facebook qui a réussi à regrouper plus de 14 milles personnes en moins de 24 heures. Ils ont également signé une pétition demandant la suppression des gardiens autoproclamés.
Une action communautaire qui a créé la polémique et a porté ses fruits. En effet, Le conseil de la ville de Casablanca a décidé de fixer les tarifs de stationnement des voitures et camions et à installer des panneaux affichant les tarifs réglementaires.
Trois dirhams pour les voitures
En revanche, les gardiens protestent contre cette décision et se justifient par les prix élevés des loyers. Ils continuent à exiger des tarifs fixes et non négociables, allant jusqu’à 10 dhs voire même 20 dhs, malgré les panneaux du Conseil installés sur place. Cette situation est très visible sur la corniche de Aïn Diab.
De leurs côtés, les automobilistes manifestent leur droit à l’application des tarifs réglementaires et le la suppression des autorisations aux gardiens agressifs qui menacent la sécurité des citoyens.
Par ailleurs, en publiant son avis, le conseil de la ville semble vouloir instaurer la transparence, avec l’espoir de mettre fin à l’anarchie et au désordre dans la tarification du stationnement.
Khadija Sabih & Naoufal Rabit
Un scan de l'Avis SVP
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